[FESTIVAL AVEC LE TEMPS]
Bertrand Belin est un artiste aux multiples facettes. Vu ces derniers mois au cinéma, au théâtre, ou lu dans La Figure, son dernier roman. Le voir, le lire, c’est bien ; l’écouter chanter, tout aussi captivant. Il est de retour avec un huitième album « Watt » où le piano trône en majesté, entouré de cordes et d’un savant dosage électronique, guitare, batterie, et sa prose ample y chante nos élans, nos amours, nos craintes.
Pour ce nouvel album studio, Bertrand Belin a choisi d’explorer de nouveaux paysages sonores, de poursuivre et conduire plus loin encore ses recherches, creuser un peu plus son sillon. Le piano, en majesté sur une partie des titres, apporte une grâce supplémentaire au savant dosage électronique / guitare / batterie à l’œuvre dans ses plus récents albums mais présenté sous un nouveau jour.
Les thématiques de ce nouvel album sont existentielles, il s’agit de notre place, nos regards, nos déplacements, nos amours, nos attentions, nos élans, nos craintes et questionnements.