KICKING 20 YEARS
Les Sheriff, qu’on croyait définitivement séparés après une fin chaotique en Italie, ont surpris tout le monde en ravivant la flamme lors d’un concert inattendu à Montpellier devant 7 000 personnes. Ce retour improvisé a donné lieu à un triple album live et un DVD, avant que le groupe ne décide de saluer une dernière fois ses fans avec une tournée « un concert par région ». Mais cette tournée sans fin a réveillé leur envie de créer.
Discrètement, les membres — rejoints par de nouveaux venus comme Ritchie Buzz et Manu à la basse — se remettent au travail. Malgré vingt ans loin du rock actuel, ils reviennent avec douze titres fidèles à leur ADN : riffs précis, énergie brute et mélodies imparables. Leur rock, héritier des Ramones, d’AC/DC, des Dickies ou d’OTH, reste intact et indémodable.
Olivier signe des textes plus graves mais toujours empreints d’un romantisme juvénile. Le résultat : un vrai retour en force, plus feu d’artifice que requiem, une parenthèse hors du temps qui promet des concerts brûlants et une joie contagieuse. Les Sheriff offrent un cadeau inespéré : un nouveau départ quand on n’attendait plus rien.
C’est un Punk très en colère, (et stupide) accompagné de deux employés "quasi musiciens" bénévoles proches du licenciement à chaque concert. Le groupe a sorti dix albums plus ou moins Bleu (tous les clichés du punk y passent), un paquet de clips plus ou moins diffusés, et pour couronner le tout, le "groupe" fait tout pour que la Fédération Internationale de Poésie Zéro se propage sur toute la terre afin qu’il y ait des Poésie Zéro dans toutes les villes du monde et qu’ils arrêtent définitivement les concerts.
La légende dit que Charlie Dirty et Daddy Schwartz se sont rencontrés en 2012, dans un colloque de développement personnel par le yoga du cri. C'est suite à cette rencontre coup de foudre qu'ils forment le groupe Schlaasss avec Kiki, le beat-maker-gourou spécialisé dans le coaching par massage intérieur, et Mekki, enfant indigo vidéaste au taux vibratoire exceptionnel.
Certains les comparent à Sexy Sushi qu'ils n'ont jamais écouté, d'autres à Stupeflip dont aucun membre du groupe ne connait plus de 2 titres, certains parlent de punk, oui peut-être, si tu ne cherches pas une reconstitution historique avec uniforme. D'autre parlent de rap, ça peut marcher vu que rap ça veut plus dire grand-chose. Toujours est-il que le groupe Schlaasss se moque de tout, du punk, du rap, de Monoprix, Casino, Prisunic, Total, de ce qu'il faut et ne faut pas dire pour être accepté dans un village de consanguins. On pourrait citer Einstein pour finir mais on écrit jutse n'miprote qoui poru nous merrar quand on verra ce texte copié collé dans les programmes.